En 2011, en créant le festival de la Semaine de la rumba catalane avec la Casa Musicale de Perpignan et l'Ecole de musique moderne de Gérone, on a voulu marquer les esprits et on a invité une grande personnalité avec Péret dans cette approche transfrontalière.
A l’initiative d’acteurs culturels des deux côtés de la frontière, cette musique gitane est candidate pour entrer au Patrimoine culturel immatériel de l’Unesco d’ici 2020. Entretien.
Hervé Parent, directeur adjoint de la Casa Musicale à Perpignan et porteur du projet d’inscription de la rumba catalane au Patrimoine culturel immatériel de l’Unesco, était à Gérone pour poser avec ses homologues catalans les bases de cette candidature. Il en explique les ressorts, les attentes et les objectifs.
Comment est née cette idée d’inscrire la rumba catalane au Patrimoine culturel immatériel de l’Unesco?
En 2011, en créant le festival de la Semaine de la rumba catalane avec la Casa Musicale de Perpignan et l’Ecole de musique moderne de Gérone, on a voulu marquer les esprits et on a invité une grande personnalité avec Péret dans cette approche transfrontalière.